Isabelle Lafon à la Maison de la Poésie

Extrait d’un reportage photographique commandité par l'association des ami-e-s de Monique Wittig.

En 1964 Monique Wittig obtint le prix Médicis pour son premier livre l’opoponax, qualifié par Margueritte Duras de « chef d’œuvre d’écriture ».

50 ans plus tard, une soirée de lectures a célébré ce texte, Jeudi 27 novembre à la Maison de la poésie à Paris avec Isabelle Lafon, comédienne, metteure en scène.

- Suzanne Robichon, présidente de l’association des ami-es de Monique Wittig,
- Emmanuelle Pireyre – Prix Médicis 2012,
- Emmanuelle Bernheim – Prix Médicis 1993,
- Marie Nimier – Prix Médicis 2004,
- Marie Darrleusseq – Prix Médicis 2013,
- Anne F. Garreta – Prix Médicis 2002,
- Isabelle Lafon
- Vassili Scheman – batterie.

La configuration est contraignante par le manque de lumière, un fond totalement noir et un espace de circulation très restreint. L’idéale pour ce type de photos de spectacle est de pouvoir faire un repérage. La photographie du spectacle vivant exige une attention particulière pour ne pas déranger les auditeurs avec le bruit des déclics de l’appareil. Selon les cas, il peut être nécessaire d’utiliser un isolant acoustique pour le boitier. J’ai opté de pousser les iso à 1600 et d’utiliser une ouverture de diaphragme entre 3,5 et 4 pour obtenir une vitesse suffisante pour capter au bon moment ce qui se passe sur la scène.